Comme chaque année, avant le vote du budget en mars, a eu lieu le Débat d’Orientation Budgétaire (DOB). Pour ce débat, des éléments sont fournis, ils donnent des informations budgétaires sur le réalisé 2021 et les projets futurs. Figuraient aussi l’état de la dette (inférieure à la moyenne nationale) la liste des investissements et les demandes de subventions de la ville, associées à ceux-ci. La réalisation de ces projets, on peut le penser, sera subordonnée à l’obtention de ces subventions. Le montant de 600.000 € consacré à l’étude de l’aménagement des entrées de ville.600.000 € surprend quelque peu.
Nous restons très vigilent quant à l’enveloppe des travaux de rénovation de la piscine. 9.500 € ont été à nouveau ajoutés en janvier, ce qui porte à + 132.208 € de dépenses supplémentaires pour ce chantier.
Dans le vote du budget de la ville, il y aussi celui des subventions attribuées aux associations et au CCAS (Centre Communal d’Action Sociale). Après plusieurs années de baisse du budget global qui leur est alloué, liée à la diminution de leur activité, nous veillerons, par notre présence au sein des différentes commissions, à ce que le budget réponde au mieux aux intérêts de nos associations pour qu’elles retrouvent les moyens de s’exprimer et de retrouver le niveau d’activité qu’elles connaissaient au paravent.
Dans le cadre de la réhabilitation de la caserne des pompiers, il est envisagé la vente des bâtiments et de l’emprise foncière au SDIS (Syndicat Départemental d’Incendie et de Secours). Cette cession se ferait à l’Euro symbolique alors que l’estimation du service des domaines est de 520.000 €. En tant que ville de résidence, une participation financière de 237.000 € lui est demandée pour la réhabilitation des bâtiments qui ne lui appartiendraient plus. 2400 interventions sont effectuées par les pompiers sur le territoire, 1175 ont lieu hors de la ville. Nous avons à ce sujet, demandé s’il était prévu de solliciter financièrement les autres communes concernées. Nous avons aussi soulevé le problème que si dans plusieurs années, le SDIS décidait de s’implanter ailleurs pour prendre plus d’ampleur, le terrain, cédé à l’euro symbolique, resterait la propriété du SDIS.